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« Westhoek » fait partie de la série de paysages abstraits de Zélande, créée en 2016 et 2017.
Technique : Technique de peinture acrylique moderne utilisant des spatules, une technique de coulage et des couteaux à palette sur toile de qualité supérieure, finie avec un vernis moyennement brillant.
Joost Verhagen (né en 1975) commença à dessiner très jeune. Ce n'était pas une surprise, car les professeurs de dessin et les designers de sa famille l'encourageaient. Ses grands-parents vivaient à Rotterdam. Le grand port impressionna le garçon : la ligne d'horizon, les navires, les raffineries et les terminaux. Sur des feuilles A3, il dessina au crayon des paysages urbains et des silhouettes de grandes métropoles fictives. Une académie des beaux-arts à Rotterdam était la suite logique, mais le programme ne correspondait pas tout à fait à ses espérances, et une carrière dans l'immobilier suivit. Un désir persistait. Après un précédent voyage sac au dos à travers l'Australie, Joost Verhagen décida d'émigrer là-bas et de travailler plusieurs années comme ouvrier en infrastructures dans l'Outback. Les paysages accidentés ne le quittèrent pas de retour en Europe. Il reprit le crayon et le papier. Et les pinceaux aussi. Il a étudié la peinture classique à l'Académie des Beaux-Arts d'Anvers (Belgique) et a obtenu son diplôme en 2019. Joost Verhagen est aujourd'hui peintre à temps plein basé à Eindhoven (Pays-Bas). Ses paysages modernes sont vendus dans le monde entier. Ses œuvres ont été exposées aux Pays-Bas, en Belgique et en Inde. En avril 2021, il a été nommé « Artiste du mois » par Online Gallery. L'artiste traduit le paysage moderne, une quête constante. Avec l'appareil photo de son iPhone, il recherche des images transposables de la photo à la toile. Son point de départ est le réalisme. Avec des outils simples – un pinceau, un couteau à palette et généralement de la peinture acrylique sur toile – il tente de transformer l'image en quelque chose de fascinant, de surréaliste ou d'aliénant. La représentation est primordiale : le nombre d'or est, bien sûr, important, mais selon Joost Verhagen, il ne devrait pas être le seul moyen d'obtenir le résultat final. L'artiste atteint la limite de l'exagération, entre réalisme et abstraction. Côté couleur, tout est possible, du clair au foncé. Le sujet peut paraître sombre, mais il n'est pas sans espoir. Les images et les formes doivent être réelles, et non artificielles. Joost Verhagen le retrouve souvent dans des lieux désolés. « Mon point de départ, à première vue, pourrait paraître tranquille, terne, voire sans inspiration. Mais ce n'est pas sans espoir : des choses se produisent. Dynamisme et progrès sont possibles. » Il préfère travailler sur des toiles de plus d'un mètre sur un mètre, épinglées au mur. Seulement après avoir tendu la toile sur un châssis. Cela lui donne la liberté d'en modifier les dimensions. Parmi ses autres thèmes figurent les petites études de paysage et les portraits. Ces œuvres transforment également le réalisme en abstraction. Joost Verhagen s'efforce de s'affranchir du définitif. L'artiste s'inspire de paysagistes modernes tels que Carla Klein, Jan Ros, Koen van de Broek et Erin McSavaney. Il s'inspire également de la photographie américaine de Gregory Crewdson. « Ils sont passés maîtres dans l'art de détourner une image du quotidien pour créer de grandes œuvres. » Son propre travail est qualifié d'Edward Hopper moderne.