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- Particulièrement belles et grandes techniques mixtes (aquarelle, encre, relief) d'Arthur Stam (1953-). Au recto un intérieur de hangar ou de débarras et au verso du plateau un match de tennis de dames nues. Les deux représentations sont en bon état. Signé et daté à l'encre rouge.
Arthur Stam (Delft, 1953)
Arthur Stam vit et travaille à Rotterdam De 1971 à 1976, il étudie à l'Académie des Arts Visuels de Rotterdam. Il a participé à un grand nombre d'expositions collectives telles que Kunstrai-Amsterdam, HAL Rotterdam, Pulchri Studio La Haye, Museum het Prinsenhof à Delft. Il compte également de nombreuses expositions personnelles à son actif, notamment dans des galeries de Zwolle, Groningen, Haarlem, Utrecht, La Haye, Rotterdam, etc. Il a remporté divers prix : Prix Jacob Hartogh (1977, Pulchri Studio), prix graphique open stable ( 1977, Oldeberkoop), Stipendium Rotterdam Art Foundation (1978, Rotterdam) et le Prix Van Ommeren de Voogt (2002, Pulchri Studio). Diverses publications ont été publiées sur son travail, dont le livret et le DVD « Nos jardins ».
L'aménagement strict des jardins familiaux ou la trajectoire quasi chorégraphique de l'homme dans son environnement : chez Arthur Stam l'espace est exploré et aménagé. Montée et chute, la beauté des humbles abris et structures de jardin, avec un amour pour la profondeur et l'illusionnisme. Son collègue Aldrik Sluis l'a décrit ainsi : « Dans les abris de jardin d'Arthur Stam, de petits miracles se produisent. L'espace est isolé, tourné vers l'intérieur, mais en même temps ouvert sur le monde, les détails apparaissent dans une lumière concentrée et ont parfois une origine mystérieuse. Parfois, les compositions soigneusement conçues reposent sur un certain caractère chinois, ce qui renforce le caractère hermétique de la composition. Il semble que tout devrait être ainsi dans l'ensemble, mais les différentes parties racontent leur propre histoire associative.
Il est surprenant que l'on puisse voir des éléments abstraits qui ont une valeur émotionnelle réaliste, de sorte que la frontière entre réalité et peinture est régulièrement brisée.
Dans le récent travail sur papier du peintre et vitrine Arthur Stam, son monde devient de plus en plus une « scène ». A partir d'un jeu raffiné de formes découpées et sciées, c'est le décorateur qui crée la pièce, un jeu bien réalisé.