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Roger Somville (1923-2014) Epreuve d'impression avec figures signées et avec tirages chez l'imprimeur y compris timbre.
Encadré professionnellement derrière un verre de musée épais avec un cadre en acier inoxydable lourd.
Encre et lavis, lavis gris sur papier.
À propos de l'artiste :
Somville a grandi dans des conditions pauvres après la mort prématurée de son père. C'est à cause de cela et sous l'influence de son oncle, lithographe, qu'il adhère au Parti communiste belge. La guerre civile espagnole et la Seconde Guerre mondiale ont marqué sa vie.
Il étudie de 1940 à 1942 à l'Académie royale des beaux-arts de Bruxelles et de 1942 à 1945 à l'École nationale supérieure d'architecture et des arts décoratifs de Charles Counhaye.[5] Sous son influence, il a développé un style expressif monumental. Il fut directeur de l'Académie des Beaux-Arts de Watermael-Boitsfort de 1958 à 1986.
En 1951, il rejoint La Jeune Peinture Belge. La même année, il fonde avec son épouse Simone Tits la "Céramique de Dour". En tant que l'un des chefs de file du néoréalisme, il rédige les manifestes de 1958 et de 1966. Après les Journées de mai 1968, il fonde le « Mouvement réaliste » en 1969.
Ses peintures murales les plus connues sont "Notre temps" (1974-76) dans la station de métro bruxelloise Hankar[6], et à l'Université catholique de Louvain à Louvain-la-Neuve, (avec le 'Collectif d'art public' qu'il a fondé), une œuvre de 410 m² sur le thème "qu'est-ce qu'un intellectuel ?".
En 1946, il fonde avec ses amis Edmond Dubrunfaut et Louis Deltour un « Centre pour le Renouveau de la Tapisserie de Tournai ». Le « Triomphe de la Paix » (Palais des Congrès de Bruxelles, 1963) est l'une de ses créations les plus célèbres.